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Séminaire

Neurobinar #14 : 24 mai à 13h sur Zoom

Pour ce quatorzième Neuro'binar, rejoignez-nous en ligne et découvrez les travaux de Julie Koenig Gambini (INMED), Florence RICCARDI (MMG), et Manon Chateaux (ISM). Inscrivez-vous sur cette page pour recevoir le lien vers le webinaire.

Faites une pause pour apprendre à connaître vos collègues !

Le 24 mai à 13h, rejoignez-nous en ligne et découvrez les travaux de Julie Koenig Gambini (INMED), Florence Riccardi (MMG) et Manon Chateaux (ISM). Florence et Manon présenteront chacune le projet doctoral de l’autre dans le cadre d’une présentation croisée. Après une séance de questions-réponses avec les doctorants, Julie nous fera part de l’avancement de ses travaux de recherche.

Format

La conférence se déroule en ligne durant une heure. Elle est composée de deux parties : dans un premier temps, deux étudiants en doctorat font une présentation croisée de 10 minutes, chacun sur le sujet de thèse de l’autre. Après 5-10 min de questions, ils passent la parole à un chercheur, un postdoc ou un ingénieur de la communauté des neurosciences qui présente en 20 min une version accessible de ses recherches. Là encore, une session de questions suit la présentation, et c’est l’occasion d’interroger le chercheur, débattre sur le sujet du jour et mieux connaître vos collègues !

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Neurobinar 14
Vous êtes :

The speakers on May 24

Connectez-vous et découvrez le projet de thèse de Florence Riccardi (MMG) présenté par Manon Chateaux (ISM) et vice versa. La présentation des deux doctorantes sera suivie de la présentation du travail de Julie Koenig Gambini (INMED). Vous aurez également l’occasion de poser vos questions et de revoir le Neurobinar sur notre chaîne YouTube.

Apprenez-en plus sur nos invités avec un résumé de leur parcours, leur bibliographie et leurs coordonnées.

Coding distance in the hippocampus: circuits and mechanisms par Julie Koenig Gambini

Julie Koenig Gambini est maître de conférences dans l'équipe de Jérôme Espztein à l'INMED de Marseille. Elle étudie les corrélats neurophysiologiques de l'espace et de la mémoire dans le cerveau, dans le but de comprendre les mécanismes biologiques de la navigation. Julie Koenig Gambini a étudié la psychologie à l'université Louis Pasteur (Strasbourg) et a fait son doctorat dans le domaine de la cognition spatiale. Au cours de sa thèse, elle a étudié l'implication du septum médian, un minuscule noyau cérébral, dans l'encodage, la consolidation et le rappel des informations spatiales chez le rat. Elle s'est ensuite tournée vers l'électrophysiologie in vivo pour enregistrer les cellules de lieu et de grille qui sont des neurones à modulation spatiale situés respectivement dans l'hippocampe et le cortex entorhinal médian. Son travail post-doctoral dans l'équipe de Stefan Leutgeb à l'UCSD a prouvé, pour la première fois chez des rats adultes, que les cellules de grille ne sont pas une condition préalable à la modulation spatiale des cellules de lieu. Elle a ensuite déménagé à Séoul, dans le laboratoire de Sébastien Royer, où elle a étudié comment les informations de récompense sont encodées dans les réseaux hippocampiques. En 2014, elle est revenue en Europe, à Marseille, dans l'équipe de Jérôme Epsztein et étudie maintenant comment les cellules de lieu intègrent deux flux d'informations (indices externes et internes). En 2019, ils ont publié le premier article français utilisant la réalité virtuelle chez les rongeurs montrant que la carte spatiale hippocampique n'est pas homogène, mais que sa résolution pourrait être augmentée localement dans les zones riches en repères visuels proximaux.

Therapeutic development for KCNQ2-related Developmental and Epileptic Encephalopathies (DEE) par Florence Riccardi

Florence est titulaire d'un doctorat en médecine et d'une spécialisation en génétique médicale à l'université d'Aix-Marseille. Après son internat, elle a effectué un bourse d'étude dans le service de génétique médicale de l'hôpital pour enfants de La Timone à Marseille. Actuellement, elle est consultante à temps partiel en génétique clinique au service de génétique médicale de l'hôpital Sainte Musse à Toulon. Concernant son parcours scientifique, Florence a obtenu un master en génétique à l'université Paris-Diderot en 2017. Elle a choisi de commencer un doctorat en neurogénétique humaine en parallèle de ses activités cliniques en 2020. Son doctorat porte sur le développement d'une thérapie par interférence ARN dans les encéphalopathies développementales et épileptiques liées au KCNQ2, sous la supervision de Laurent Villard (MMG, U1251 Inserm). Elle s'intéresse aussi particulièrement à l'identification des causes de l'autisme et de la déficience intellectuelle.

The sensorimotor loop underlying phantom hand movements in transhumeral amputees par Manon Chateaux

Manon est diplômée de l'ENS Paris-Saclay en 2019. Elle a obtenu ses masters en neurosciences cellulaires et en ingénierie biomédicale en collaboration respectivement avec l'Université de Sorbonne et l'ESPCI Paris Tech. Actuellement, elle est doctorante à l'ISM (Institut des Sciences du Mouvement) sous la supervision de Jozina De Graaf. Elle étudie le mouvement fantôme de la main chez les amputés transhuméraux en utilisant la MEG et l'IRMf pour mieux comprendre la boucle sensorimotrice sous-jacente et pourquoi les mouvements fantômes sont rapportés comme étant particulièrement lents et demandant un effort exigeant.

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