Neurobinar #4 : 21 janvier à 16h sur Zoom

Pour cette troisième édition, nous avons le plaisir d’accueillir Cédric Maurange (IBDM), Dominika Pilat (INP) et Borloz Émilie (MMG). Dominika Pilat et Borloz Émilie introduiront leurs thèses respectives dans une présentation croisée. Après une séance de question, Cédric Maurange (IBDM) vous expliquera ses recherches sur les programmes génétiques modifiant les propriétés des cellules souches neurales au cours du développement.

Le format

Une web-conférence d’une heure en 2 temps: 10 min de vis-ma-vie où 2 doctorants présentent en croisé leurs travaux. Après 5 min de questions, ils passeront la main à un chercheur, un postdoc ou un ingénieur de la communauté qui lui, vous exposera en 20 min, une version accessible de sa recherche. Là encore, vous aurez la possibilité de poser des questions, de débattre entre vous sur le sujet du jour ou tout simplement d’apprendre à mieux connaitre votre collègue!

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Connectez-vous et apprenez-en plus sur la thèse de Dominka Pilat (INP) présentée par Émilie Borloz (MMG) et vice versa. La présentation des deux thèses sera suivie de la présentation du travail de Cédric Maurange (IBDM). Vous aurez également la possibilité de poser vos questions et de revoir le neurobinaire sur notre chaîne YouTube.

Cédric Maurange a effectué son doctorat à l’Université de Heidelberg travaillant sur mécanismes épigénétiques régulant l’expression des gènes au cours du développement. Il a ensuite réalisé un post-doc au Medical Research Center à Londres pendant lequel il a travaillé sur la régulation temporelle des cellules souches neurales lors de la fabrication du cerveau chez la drosophile. Depuis 2009, il est chef d’équipe à l’Institut de Biologie du Développement de Marseille (IBDM). Avec son équipe, il a développé plusieurs axes de recherche, se concentrant notamment sur les programmes génétiques modifiant les propriétés des cellules souches neurales au cours du développement. Plus récemment, l’équipe a établi un modèle de tumeurs d’origine développementale, comme les cancers pédiatriques, permettant de comprendre comment des programmes génétiques développementaux peuvent être cooptés pour induire des tumeurs et régir les propriétés prolifératives des cellules cancéreuses. L’équipe utilise principalement la mouche drosophile comme modèle d’étude, mais s’est récemment enrichi d’un modèle animal vertébré comme l’embryon aviaire. L’équipe est labellisée « Ligue Nationale contre le Cancer ».